Routes en haute montagne : comment y conduire prudemment ?
Cette année, vous avez décidé de vous rendre en haute montagne pour vos vacances. Au programme de votre séjour sont prévus des randonnées, des découvertes de paysage magnifiques, du repos et du calme ! Sacrées perspectives, mais avez-vous réfléchi aux meilleures méthodes pour conduire prudemment en montagne ?
Vous pouvez être un as de la conduite sur le périphérique parisien et éprouver les plus grandes peines en montée et en descente. Voici quelques conseils de base.
Une voiture en excellent état
Les reliefs mettent à rude épreuve votre voiture. Vous devez donc avoir une voiture en parfait état, que ce soit les pneus, le moteur, la boîte de vitesse, les freins… Avant de partir, faites une révision dans un garage pour vous en assurer et si vous avez besoin de changer des pièces, faites-le en vous procurant ces accessoires en ligne comme sur ce site web.
Connaître le trajet en amont
Il n’y a rien de plus dangereux qu’un touriste perdu qui cherche sa route à chaque panneau. Ne soyez pas ce danger public ! Le mieux est d’avoir un GPS à jour. Ce dernier peut même vous permettre d’anticiper parfaitement les virages.
Si votre GPS est sur smartphone, téléchargez les cartes sur Google Maps ou ayez une carte routière en supplément car vous perdrez sûrement votre réseau en altitude.
Ne pas tout miser sur les panneaux de signalisation
En ville, vous êtes devenu dépendant des panneaux. C’est eux qui vous rappellent les priorités, les virages serrés, les routes cabossées et les passages pour les piétons. En montagne, les panneaux de signalisation manquent sur la plupart des petites routes.
Il peut donc être très dangereux de prétendre que le virage sera large car aucun panneau indique qu’il est dangereux. En faisant cela, vous risquez vite de frotter un rail de sécurité !
Vous n’êtes pas un local
En France, le nombre de radars présents sur les routes a diminué la vitesse globale et seules quelques apprentis pilotes roulent très vite. En montagne, les radars sont rares et les locaux qui connaissent parfaitement la route sont souvent les premiers à rouler très vite.
Si un d’entre eux vous colle les fesses, ne commencez pas à accélérer sous la pression car le futur danger, vous ne le connaîtrez pas contrairement à lui.
Penser à votre essence
La montée et la descente d’une montagne sont exigeantes pour votre voiture en termes d’énergie. Pour grimper, vous devez souvent être en sous-régime sous peine que le véhicule n’avance pas, tandis que pour la descente, vous jouez constamment avec les freins et l’accélérateur selon l’inclinaison.
Faites bien le plein en amont de l’ascension car peu de stations ou de villages de haute montagne possèdent une station-service.
